Soulignons une intervention réussie des intervenants.
Lorsqu'une personne tombe en arrêt cardio-respiratoire, les chances de survie sont minces, à moins que des manoeuvres de réanimation soient entreprises rapidement, les chances de survie sont alors plus élevées. Chaque minute qui s’écoule entre le moment du début de l’ACR et le début des manœuvres de réanimation diminue rapidement les chances que la victime soit réanimée (retour de pouls). L’ACR est donc la situation la plus urgente pour laquelle les premiers répondants sont appelés à intervenir. Et lorsque les paramédics répondent à un appel de ce type, leur seul et unique but, c'est de pouvoir sauver la vie de la personne. C'est leur travail, leur mission.
La bonne nouvelle est qu'un homme a été réanimé lundi.
Selon la CTAQ, lundi matin, les paramédics de la CTAQ Frédéric Gasse et Jean-Simon Beaulieu ont contribué à la réanimation d’un patient de 58 ans dans la région de Québec.
La CTAQ parle d'un excellent travail d'équipe :
«les premières manœuvres ont été effectuées par les policiers du SPVQ, puis notre duo de la CTAQ a pris le relais. Même le masseur automatisé (LUCAS) a été mis à contribution. L'équipe médicale au centre hospitalier a pris la relève et a pu, au final, réanimer le patient.»
Du beau, très beau travail d’équipe, a ajouté la CTAQ sur sa page Facebook.
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